A través de relatos y dibujos, a veces reales, otras veces imaginarios, Beatrice Rodaro-Vico y Fidel Durana nos introducen en momentos de vida, diversos y variados en cuanto a contenido y género literario. Nos descubren poco a poco lo que les es importante, lo que da sentido a la vida cotidiana, lo que puebla sus universos… Los relatos , de la pluma de Beatrice Rodaro Vico transmiten las andadas entre recuerdo y ficción, los dibujos, del lápiz de Fidel Durana dan forma y profundidad a esos caminos de la existencia.
Beatrice Rodaro Vico es autora y arte terapeuta desde hace más de 40 años.
Fidel Durana es ilustrador y trabaja en infografía desde hace 20 años.
Tapa del libro « El encaje de aguja…una historia de mujeres »
Durante
el tiempo de la pandemia Beatrice Rodaro Vico ha dedicado una parte
importante de su tiempo a una actividad que fue junto con la danza
la otra de sus manifestaciones artísticas habituales desde su
adolescencia: la escritura.
En
esta nueva etapa de escritura Beatrice ha elegido como lengua de
expresión el español.
El
español es una lengua hablada por más de 500 millones de personas
en el mundo, es la lengua de la América Latina, en casi todos los
países que la forman, y es una lengua que se honora con magníficos
escritores e investigadores.
Además,
la América Latina es donde han acabado su viaje una enorme cantidad
de inmigrantes italianos. Beatrice es italiana, conoce la nostalgia
de la tierra añorada y quiere acercarles ese terruño a los que se
fueron pero que aun piensan en la tierra de sus ancestros y se
reconocen en su cultura.
Por
otra parte, al español le cabe ocupar su rol de lengua de liberación
del monopolio cultural ejercido por otra lengua, que no hace falta
nombrar porque la conocemos todos.
Con
este primer libro Beatrice comienza una serie de publicaciones con
ese espíritu y en español.
“El
encaje de aguja…una historia de mujeres” es la segunda edición
de un libro publicado en francés en 2008 bajo el mismo nombre.
Es
una versión corregida y aumentada con tres anexos y que además de
la historia del encaje de Venecia nos hace descubrir el punto
Aquileia, punto de bordado creado por Antonietta Monzo Menossi,
bordadora friulana, para festejar la llegada del siglo XXI.
Ci dessous un extrait d’article paru dans la Dépêche du Midi présentant les lauréats du concours Art Résilience 2020.
Les lauréats du 6e salon international Art Résilience de Saint-Frajou
Le
prix du public a été attribué à l’artiste italo-française d’origine
vénitienne, Béatrice Rodaro Vico résidant en Saône et Loire, pour sa
sculpture « La solitude ». DDM
Le
salon international Art Résilience qui se tient chaque année au musée
de peinture de Saint-Frajou, a été organisé en ligne pour sa 6e édition
en 2020, en raison de l’épidémie. « Il a rejoint ainsi les grands
déplacements terrestres vers ces nouveaux moyens de communication et de
travail qui permettent de maintenir des activités malgré la situation
actuelle » souligne Ksenia Milicevic du musée de peinture.
Les
artistes ont répondu à l’appel en grand nombre et 68 artistes de 31
pays ont été sélectionnés et sont présentés sur le site d’Art
Résilience.
Le Salon
est divisé en quatre sections : peinture, graphisme, sculpture et
photographie. Le 1er prix a été attribué à Natalya Zhadenova (Russie)
pour sa peinture d’une exécution remarquable, pour la finesse et la
subtilité de l’expression et l’évocation du sens qui peut être lue de
multiples façons. Le 2e prix a été décerné à Alain Schrotter (France)
pour l’excellence de la composition et l’emploi de la couleur, ainsi que
pour la qualité de l’atmosphère qui s’en dégage. Le prix de peinture a
été remis à Cheryl Eggleston (USA), une peinture magnifiquement
organisée évoquant un monde déshumanisé, mais sobrement, sans aucun
pathétisme. Quant au prix du graphisme, il revient à Nicolas Blanquet
(France). Une expression mêlant la force et la douceur qui entraîne le
spectateur dans son sillon en lui demandant sa participation, car les
sensations peuvent être multiples. Prix de sculpture pour Suzanne
Johnson (USA) pour sa sculpture d’un grand professionnalisme capable de
s’en tenir à la stricte réalité toute en ajoutant une note de
créativité. Andrea Ratto (Espagne) a reçu le prix de la photographie :
sa photo prise dans une seconde de vie des hommes tout en parlant du
temps qui les a façonnés. Sur le site du Salon et sur les réseaux
sociaux, le public a été invité à voter pour son artiste préféré
indépendamment de la discipline. Les votes, du monde entier, ont été
très nombreux. Finalement l’œuvre gagnante s’est dégagée : la sculpture
« La solitude » de l’artiste italo-française d’origine vénitienne,
Béatrice Rodaro Vico résidant en Saône-et-Loire.
En attendant le 7e salon Art Résilience qui aura lieu en 2021, ces œuvres sont visibles en ligne sur le site du musée www.musee-saint-frajou.comLa Dépêche du midi
C’est avec un très grand plaisir que Béatrice a appris que le public, sur le site d’Art Résilience et sur les réseaux sociaux, lui a attribué le Prix du Public du 6° Salon international Art Résilience :
Voilà le résultat de la participation à l’exposition en ligne « Barbijos intervenidos », organisé à partir du 8 août 2020 par le Centre argentin d’art textile, qui nous présente ci dessous le catalogue.
Catalogue de l’exposition – Fichier PDF (178 mégaoctets):